Les facteurs les plus importants de la réussite
Que voulons-nous dire quand nous disons que quelqu’un a « réussi » ? La reconnaissance publique et la richesse sont des définitions restreintes de la réussite. Certaines personnes n’aspirent ni à l’une ni à l’autre mais ont une grosse valeur dans leur organisation ou communauté. Pour d’autres, la réussite est liée à la famille. Ils sont de bons parents, créent des relations durables avec leurs partenaires et aiment voir leurs confrères réussir.
Voici ce que Ralph McKechnie Brown pense du succès :
Sachez qui vous êtes !
Choisir de prendre le contrôle de notre vie nous permet de nous contrôler intérieurement. Nous acceptons que le succès dépend de nous, que nous avons des options et pouvons surmonter les contretemps. Ceux qui essaient de tout contrôler extérieurement pensent que leur réussite dépend de la chance, du destin, d’autres personnes au pouvoir plus grand qu’eux, ainsi que d’autres facteurs hors de leur contrôle.
Des études ont montré que les « internaliseurs » réussissent mieux que les autres. Les « externaliseurs » expliquent leur succès par la présence d’un bon professeur, au fait que ce professeur les aime particulièrement ou que leurs examens étaient faciles.
Une fois que vous connaissez d’où vient votre contrôle, vous savez comment y travailler.
Choisissez d’être courageux(se) !
Au sens littéral, le courage est la capacité de faire face et d’endurer le danger, même d’être immunisé contre la peur. Pour la plupart d’entre nous, le courage est le fait de surmonter sa peur.
Parfois, on perd courage à cause d’une stagnation. Nous créons des habitudes faciles à vivre : le même emploi, les mêmes opinions et intérêts. Il est facile de résister au changement. Tout changement n’est pas pour le mieux, c’est vrai. Mais parfois nous choisissons simplement la sécurité de la stagnation.
Choisissez d’être proactif(ve) !
Il n’est pas facile de constamment anticiper les problèmes et d’agir avant qu’ils ne se développent. Mais ceux ou celles qui décident de contrôler la situation en ressortent mieux. Ils construisent également leur résistance face à la prochaine crise. Les personnes moins résistances ne sont pas seulement passives mais moins robustes mentalement et physiquement.
Soyez constamment proactif(ve) et faites des choix !
Choisissez votre attitude dans chaque circonstance !
Nous pouvons toujours choisir d’être positif et de chercher des solutions, ou du moins accepter notre situation de manière positive. Choisir notre attitude nous permet de préserver nos relations. S’énerver et insulter n’a aucune utilité à long terme.
N’ayez pas peur du ridicule !
Pensez à la dernière fois que vous aviez honte et demandez-vous en quoi cela vous a aidé. Est-ce que la peur de l‘embarras vous empêche de vous exprimer en réunion ?
Avoir honte ne change pas vos circonstances. Au contraire, vous vous sentez encore pire. Faites le choix de ne pas vous laisser submerger par la honte.
Choisissez d’être heureux(se) !
Les personnes heureuses ont tendance à penser positivement des thèmes négatifs, alors que les personnes malheureuses s’attardent sur ce qui est négatif.
Les personnes heureuses pensent également plus positivement à propos d’elles-mêmes et on un réseau de relations de soutien. Ils se remettent plus facilement des difficultés, savent résoudre les problèmes et ont un sens de l’humour même lorsque cela ne va pas bien.
Choisissez de penser et d’agir de manière indépendante !
Il est facile d’être d’accord avec tout le monde. Mais les personnes qui réussissent pensent indépendamment des autres, ce qui les libère et les permet de faire plus dans leur vie. Elles ne se laissent pas contrôler par ce que les autres pensent, surtout si cela les empêche d’arriver à leurs fins.
Choisissez de vous séparer de votre passé !
Les ressentiments et culpabilités du passé ainsi que les habitudes destructives peuvent prendre le dessus. Mais se libérer de son passé est un choix à faire. Cependant, tout lâcher peut être difficile. Si vous ne pouvez rien à la cause, il est temps de tout mettre derrière vous. Les personnes qui réussissent savent que cela ne sert à rien de prolonger la culpabilité, l’énervement ou la rancœur.
Comment sait-on en tant que coach, parent, collègue, étudiant ou ami(e) que l’on a réussi ? Racontez-nous votre histoire !
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