Pas facile de se mettre à la place des autres
Réellement se mettre à la place des autres, ce n’est pas facile. Pourtant, cela fait une grande différence. Si vous le faites, et observez en silence, vous aurez plus de perspective sur ce que c’est que d’être, d’avoir, de vouloir…
Lorsque la vie est difficile, on préfère ne pas recevoir de conseils, même si ceux-ci sont bons. Pourtant, si nous sentons que l’autre est avec nous, cela nous suffit.
Je trouve que le silence n’est pas suffisamment pratiqué aux universités et écoles. Dans le monde du travail et de la santé mentale, je remarque beaucoup de conseillers. Je me demande toujours à quel point ces conseils aident vraiment.
Si je me mets à la place de quelqu’un d’autre, souvent je me tais pour me demander : comment est-ce qu’il ou elle vit sa vie ? Mes questions préférées sont celles qui les font sourire intérieurement (à cause d’une force, d’une ressource ou un sentiment perdu). Je pose des questions sur l’avenir qu’ils aimeraient avoir. Grâce à toutes les réponses que je reçois, je me rapproche de leurs sentiments, de leurs émotions.
Ce que je veux, c’est les aider à atteindre leurs buts et leur avenir rêvé. J’aime les aider à simplement « foncer », travailler et avancer ! En même temps, je sais que cela est difficile parce que je me mets à leur place !
J’aime aussi poser des questions comme « Est-ce que vous pourriez… ? » ou « Tentez ceci, cela… ». Ceci peut aider à connecter différentes situations et actions de leur vie.
Grâce aux bonnes questions, vos étudiants, enseignants, managers etc. répondent bien plus positivement et se sentent plus puissants. Alors quelles sont ces questions ?
Pour en savoir plus, lisez le livre en anglais de Ella de Jong : Solution Focused Mentoring.
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