Si nous ne faisons pas attention, c’est souvent la chance qui décide de ce à quoi ressemble notre réseau. Est-ce que nous décidons vraiment qui sont nos contacts ? Ceci signifie que nous perdons le contrôle de nos objectifs et nos efforts. Si nous ne nous concentrons pas sur un objectif, nos contacts pourraient être non constructifs.

 

Deux choses importantes à propos du réseau

Cela prend du temps de construire des bonnes relations et il est important de cultiver nos contacts importants. Ceci est également expliqué dans cet article sur le partage des contacts.

Si nous avons trop de contacts dans notre réseau, nous nous sentons souvent coupables de ne pas faire assez, et ce sentiment n’est pas très agréable. Si nous passons notre temps à des événements de réseau, nous sommes souvent épuisés. Si le maintien de nos relations nous demande trop d’énergie, notre réseau deviendra inefficace.

 

Que faire ?

Une étude récente a montré que nous n’arrivons pas à nous occuper du grand nombre de contacts que nous créons. En réalité, cela représente même une perte puisqu’un réseau trop important a un effet paralysant.

Nous savons aujourd’hui que la plupart des personnes peuvent s’occuper d’un maximum de 100 à 230 personnes. Un réseau de cette taille peut créer des relations profondes et proches et donc de meilleure qualité.

Je conseille donc de ne plus laisser la chance vous guider ! Créez une vision sur notre réseau. Il s’agit de choisir ce pour quoi vous souhaitez utiliser votre réseau et comment il vous aidera.

 

En créant votre vision, le travail est plus focalisé

Le tri deviendra plus facile, et le souhait de vous faire un bon réseau grandira quand vous verrez que cette stratégie fonctionne et que les résultats (emploi, promotions et entreprenariat) sont visibles.

De plus, vous remarquerez que les petits efforts peuvent mener à un plus grand rendement. Si vous travaillez consciemment pour créer un réseau efficace, vous atteindrez vos objectifs plus facilement.

 

Si vous aimez cet article, pourquoi ne pas lire le livre en anglais de Simone Andersen, Networking ?